Ce matin j'ai une grosse envie de rouler, et à Fontainebleau de surcroît. Je laisse tomber donc la grasse matinée qui me tendait les bras pour me préparer et prendre la route en direction d'Arbonne-la-Forêt. Je vais aller rouler aux Trois Pignons et plus précisément au Coquibus.
Au réveil la météo est bien maussade, il pleut un peu. Par contre plus je m'approche de mon spot préféré, plus la pluie s'intensifie. C'est maintenant véritable déluge qui tombe. Que faire ? Demi-tour et me mettre au chaud? ou continuer ma route en espérant que cela s'estompe ? Je choisis la seconde option. J'ai bien fait. Lorsque je sors de la voiture ce n'est plus qu'une pluie fine qui m'accueille.
Je pars donc. Les singles sont bien trempés mais l'envie de rouler est bien trop présente. Je me sens en forme et en confiance. Bizarrement avec la pluie je choisis mes trajectoires au plus juste, le grip n'est pas trop mauvais malgré l'humidité ambiante. Le plus gros danger reste les racines transformées en véritables patinoires.
Arrivé sur la platière je me rend vite compte que de véritables ruisseaux ont remplacé les chemin. Même la Baignoire de la Mère Thomas déborde. Heureusement que ce n'est que de l'eau et qu'il n'y a pas de boue.
La Baignoire de la Mère Thomas.
Par contre dans les singles bordés de bruyères et de callunes, c'est une catastrophe. Les plantes retenant l'eau, je me retrouve rapidement trempé. Le pantalon est imbibé et j'ai les pieds qui nagent dans les chaussures. Peu importe. J'ai un but aujourd'hui et je veux m'y tenir. C'est que j'ai un objectif pour le mois de mai et il faut que je m'entraîne. Je ne vous en ai pas parlé encore? Ah bon? Et oui j'ai choisi la destination de mon itinérance annuelle, et ce sera le Chemin de Stevenson, entre Le Puy en Velay et Alès. Bon je ne vais pas m'éterniser sur le sujet aujourd'hui. Cela fera l'objet d'un billet très prochainement où je vous présenterai en détails mon projet
La Baignoire de la Mère Thomas.
Par contre dans les singles bordés de bruyères et de callunes, c'est une catastrophe. Les plantes retenant l'eau, je me retrouve rapidement trempé. Le pantalon est imbibé et j'ai les pieds qui nagent dans les chaussures. Peu importe. J'ai un but aujourd'hui et je veux m'y tenir. C'est que j'ai un objectif pour le mois de mai et il faut que je m'entraîne. Je ne vous en ai pas parlé encore? Ah bon? Et oui j'ai choisi la destination de mon itinérance annuelle, et ce sera le Chemin de Stevenson, entre Le Puy en Velay et Alès. Bon je ne vais pas m'éterniser sur le sujet aujourd'hui. Cela fera l'objet d'un billet très prochainement où je vous présenterai en détails mon projet
Pour en revenir à ma sortie, j'ai quand même fini par rentrer à la voiture après 32km. Il s'était remis à pleuvoir fort et j'étais trempé et frigorifié. Il était temps d'arrêter si je ne voulais pas attraper une pneumonie. De plus une bonne mousse bien fraîche m'attendais chez Yannick, rédacteur de l'excellent site Vélochannel.com 
Encore merci pour la mousse Yannick 
Encore merci pour la mousse Yannick Les 100 Marches.
La Mare aux Joncs.
Vestiges du temps, pas si lointain, où les Trois Pignons servaient de camp de manoeuvres aux bidasses.
Les chiffres de la sortie:
31,9km
3h29 de roulage (4h25 avec les pause)
9,1km/h de moyenne (7,2 avec les pauses)
48,2km/h max
618m de D+
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